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mercredi 4 mai 2016

Le Crédit Maritime de Talmont, pourquoi est-il florissant.



Par Gérard Faure-Kapper

"Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front" 

C'est ce que l'on dit aux entrepreneurs.

"Tu gagneras ta brioche à la sueur du front des entrepreneurs"

C'est la devise des banquiers.

J'ai sous les yeux l'extrait de compte d'un entrepreneur du Crédit Maritime de Talmont Saint Hilaire.

Pour le mois d'avril, 496,80€ de frais d'intervention.

Ceci pour la décision de payer 54 écritures.

Dans le cas de ce client, tout employé de banque normal, connaissant un peu son métier, va mettre en place une petite facilité de caisse.

Mais nous avons quelqu'un qui doit être hors norme dans cette agence.

Il ne va pas "examiner le compte" pour "prendre une décision de paiement" pour chacune de ces 54 écritures.

A moins d'avoir un QI d'un pétoncle ou d'un secrétaire d'état, il connaît bien sa cliente.

Alors il s'amuse. Chaque petit clic avec son petit doigt sur sa petite souris rapporte 8€ à son employeur. Ça lui prend un dixième de seconde.

Ainsi, le Crédit Maritime va créer artificiellement des charges. Tant que l'entreprise tient debout, ça rapporte.

Puis un jour, l'entrepreneur ne pourra plus payer ce racket. il va, dans la plupart du temps, laisser une somme au débit de son compte.

Ce débit, créé artificiellement par le petit doigt du chargé de clientèle, ne pourra pas être récupéré par les voies judiciaires.

Alors le Crédit Maritime va "revendre" cette dette à un cabinet de recouvrement dont les méthodes illégales s'inspirent de celles de la mafia: intimidations, menaces, harcèlement, etc...

Combien la banque a "revendu" sa dette imaginaire ? 23% de la somme concernée.

De tout ceci, nous avons les preuves bien entendu.


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