Ce 19 novembre 2013 sera le jour de l'infamie. Les députés ont voté une loi en faveur des banques et contre les citoyens.
Sur le
monde de la finance, le Président Hollande avait pourtant été très clair dans ses
propos.
«Sans nom et sans visage», ce n’est pas un humain. «Sans
parti» et qui «ne présentera jamais sa candidature»: ce
n’est pas un leader politique, «il
ne sera jamais élu et pourtant il gouverne»: cet adversaire agit de façon occulte en
manipulant les élus.
Le Président était un visionnaire, il
avait entièrement raison sur le monde de la finance.
Les lobbys bancaires avaient manipulés l'article 60 de la
loi des finances.
Les députés viennent de voter cette loi
en faveur des banques et contre les citoyens.
En votant cette loi, les députés "valident" tous
les contrats passés entre les banques et les collectivités locales ou personnes
morales.
Cette loi
incroyable, non seulement amnistie globalement les banques, mais interdit
désormais tout recours pour les communautés, les villes, les sociétés, les
entreprises, etc.
C'est une atteinte directe au droit inaliénable, inscrit
dans la déclaration des droits de l'homme, de se défendre et de demander
l'arbitrage de la justice.
Sont visés notamment les emprunts toxiques qui privent les
communes et les citoyens de milliards de ressources.
Sont visés également les prêts contractés par des
professionnels, commerçants, artisans, entreprises dont le taux effectif global
est totalement erroné.
Cette loi qui
rétabli un privilège pour le système financier au détriment des citoyens, a été
votée par les députés socialistes, les députés verts et les députés radicaux de
gauche.
En accord avec la pensée du Président François Hollande, je
pense que ces députés ne peuvent plus représenter le peuple.
La plupart sont également maires. Au mois de mars, ces gens
vont probablement proposer leur candidature pour représenter leurs administrés.
En votant pour le
PS, les RG ou EELV, vous validez le vote d'hier en faveur des banques.
Ces députés qui ont trahi à la fois leur Président et leurs
administrés ne pourront espérer que les votes des employés de banque.
Nous veillerons à
rappeler ce vote en faveur des banques et sur le dos du peuple en temps voulu.
Ce sera le principal argument des listes concurrentes.
Il va sans dire que l'étape suivante est le particulier.
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