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mercredi 16 octobre 2013

Emprunts toxiques: il faut empêcher les députés de livrer le peuple aux banques.



Par Gérard Faure-Kapper

Il y a le feu à la maison.

Comme le 10 juillet 1940, les députés s’apprêtent à voter les pleins pouvoirs, non pas au Maréchal mais aux banquiers.

En 1940, 569 députés ont voté ces pleins pouvoirs contre 80 qui ont eu le courage de résister.

Aujourd'hui, combien de députés associeront leur nom à une infamie et une trahison.

Aujourd'hui, combien de députés décideront qu'une dictature des banques n'est pas une fatalité et assumeront leur responsabilité de représentant du peuple.

Ce texte est la légalisation du chantage et désarme juridiquement les collectivités locales et les citoyens. 

Si votre député, celui qui est censé vous représenter, vote cette loi, il trahit votre confiance et trahit la Nation. 

S'il vote cette loi, tout devra être fait dans votre circonscription pour le faire tomber aux prochaines élections, lui et ses amis politiques. 

C'est un nouveau combat qui est engagé.

Pour que vive la République Française



Dans un premier temps, il faut signer cette pétition et la faire parvenir à votre député.


Emprunts toxiques : Nos députés doivent rejeter l'article 60

Par cette pétition, nous demandons à l'ensemble des députés et sénateurs de rejeter avec force un dispositif particulier du projet de loi de finances pour 2014.
Il s'agit de l'article 60, relatif au « Fonds de soutien aux collectivités territoriales ayant contracté des produits structurés », qui exige de la part des victimes et victimes futures d'abus bancaires – en échange d'une aide hypothétique – une « renonciation à tout contentieux né ou à naître ».
En vérité, adopté en l'état, il s'agirait ni plus ni moins d'un désarmement juridique unilatéral des collectivités locales (et des citoyens) devant des institutions financières leur ayant vendu des emprunts toxiques.
En rejetant l'article 60, nos représentants démontreront qu'ils refusent de se prêter à ces manœuvres au service d'une finance ayant perdu la raison !


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2 commentaires:

  1. L'article précise que c'est pour ne par léser l’État "l’État est actionnaire à 75 % de la Société de financement local (SFIL) et à 44 % de Dexia SA" donc 2 questions l’État a vendu des emprunt toxiques ? et A qui appartient le restant 25% SFIL et 56 % Dexia ? Ceci expliquerait peut-être cela... :-)

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