Par Gérard Faure-Kapper
Chaque
jour des millions de citoyens constatent l’impôt quotidien prélevé sur leur
compte par les banques.
Chaque
jour ces braves gens ont le ventre noué en ouvrant leur boîte aux lettres.
Quotidiennement ce peuple libre n’ose plus décrocher son téléphone ni ouvrir la
porte. Quand ils rentrent du travail, ils craignent l’ouverture forcée et leur
appartement dévasté.
Pourtant
qu’ont-ils fait ? Rien, ce sont des gens qui travaillent, qui gagnent de l’argent
mais qui ne peuvent en profiter.
Le
racket a été instauré par le système bancaire. Il rapporte 24 milliards par an
aux banques. 24 milliards soustraits à l’économie du pays et destinés aux
paradis fiscaux.
Ces
24 milliards sont un nouvel impôt privé, privilège d’une caste de banquiers qui
répond ainsi à la définition « d’organisation de nature criminelle ».
Quel
sort pour ceux qui ont été appauvris de la sorte, qui ne mangent que des produits
discount de qualité incertaine, qui ne connaissent plus le goût de la viande
rouge, qui ne peuvent plus se soigner et dont les enfants vont souvent à l’école
le ventre vide.
Ces
gens là, ce sont les classes moyennes, les vaches à lait, les pigeons. Cette
classe moyenne réduite à l’esclavage par l’effet conjugué des 2 gouvernements :
l’État et les banques.
A
combien peut-on estimer cet impôts prélevé par les banques : d’après nos
dossiers, c’est une moyenne de 1 mois de salaire.
Et
pour ceux qui ne peuvent plus payer, pour reprendre l’expression d’une chargée
de clientèle du Crédit Agricole d’Annecy : « si vous ne payez plus,
on lâche les chiens ! »
C’est
de la « carlingue » que veut parler cette employée de banque. Ce sont
les huissiers. Quand ils sont « lâchés », tous les moyens leur sont
permis. Usant de leurs prérogatives d’officiers ministériels assermentés, ils
se permettent tout pour pousser la famille au suicide. Et ils ont déjà un beau
tableau de chasse.
La
« carlingue » est l’organisation la mieux protégée de France. Personne
n’ose dire la moindre parole contre eux et encore risquer un recours en
justice.
L’APLOMB
reçoit les témoignages et les dossiers. Tel le Tribunal Révolutionnaire de
1793, nous ne laisserons rien passer. La plus petite erreur ou faute sera
exploitée.
Nous
avons déjà 3 huissiers entre nos griffes. Le premier à établi un faux pour
obtenir une décision exécutoire de saisie. Les deux autres n’ont jamais
signifié les actes juridiques au citoyen pour obtenir des décisions exécutoires.
Nous
avons saisi la Cour Européenne des Droits de l’Homme à Strasbourg pour
violation de l’article 6 de la Convention de Sauvegarde de 1950.
Nous
accusons la France de soutenir et de protéger ses officiers ministériels. Il faudra
qu’elle s’en défende devant le tribunal de l’opinion. Oui, car nous leur
accorderons ce qu’ils nous ont toujours refusé : le droit à un procès
équitable.
L’objectif
de l’APLOMB a toujours été la prévention du suicide pour raisons financières.
Le but final est de sauver des vies humaines. Dans beaucoup de suicides, il y a
un huissier pas très loin. Aussi, nous serons intransigeants sur ce combat.
www.aplombfrance.fr
Cher Gérard,
RépondreSupprimerje vous ai envoyé le nom de la chargée de clientèle du Crédit Agricole d'Annecy pour votre "liste".
Je crains hélas qu'il vous faille y inscrire toute l'équipe, elle n'est qu'une des pointes de l'iceberg d' une jolie bande de malfaiteurs qui s'ignore, cachée sous des effluves de Soupline, col blanc bien amidonné, bien organisée avec pignon sur rue...
Le Diable peut se cacher dans le corps d'une potiche bedonnante en vieille jupe de Tergal, qui répète à l'envi le mépris d'une clientèle vomit par tout son service inquisiteur, accusateur et brutal.
Le citoyen à une arme atomique dans sa main, il faut qu'il l'utilise: Le vote.
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