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mercredi 25 juillet 2012

150.000 pages lues. Le blog de l'APLOMB devient un empêcheur de (dé)tourner en rond.



Par Gérard Faure-Kapper.

150.000 pages lues.

30 mois d'existence, 512 articles, un article quotidien depuis plus d'un an, des informations exclusives sur vos droits, des analyses de jurisprudences, des informations diverses.

Un seul objectif: obliger les banques à respecter les lois républicaines et dénoncer leurs dérives mafieuses voire criminelles.

Au départ l'APLOMB a été créé pour la prévention des suicides pour "raisons financières".

Je ne pense pas que nous ayons vraiment réussi à empêcher les banques à pousser nombre de leurs clients vers cette fatale extrémité.

Mais aujourd'hui, personne ne peut ignorer la réalité du lobby bancaire, sa mainmise sur l'assemblée nationale, creuset des lois de notre société, ses accointances avec les milieux politiques, les copineries, les "arrangements" discrets dans les lieux de rencontre des influences locales. Chacun vient y faire son marché, le troc est de mise, tu m'arranges cette affaire et je vais influer favorablement pour ton problème.

En ne respectant pas la législation, les banquiers sont devenus ce qu'ils étaient à l'origine, des usuriers. Une sorte de retour à l'état sauvage, inévitable quand on leur permet de ne pas respecter les lois. Pire, les banques mutualistes, créées il y a près de 150 ans pour lutter contre l'usure, sont devenues les pires.

Notre économie est rackettée, les citoyens subissent une crise que les banques ont créées et dont elles se repaissent sous le regard des politiques bienveillants, reconnaissant le rôle primordial des finances dans une campagne électorale.

Paradoxalement, si je suis constant dans cette lutte, c'est pour l'honneur des banques que j'ai connues, dans lesquelles j'étais fier de travailler et qui devaient leur rentabilité au travail et à la cohésion de son personnel et non à des pratiques hors la loi et souvent criminelles.

Ce combat que nous menons tous contre les ennemis de la Nation a un nom, il s'appelle Résistance, et nous ne sommes qu'au début.

 

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