Par Gérard Faure-Kapper
A
Lyon, deux Citoyens ont décidé de soumettre leur candidature au poste et à la
fonction de Député.
Il
y a certaines conditions et formalités à remplir bien sûr, ainsi que des
obligations.
L’une
d’elle consiste à avoir un mandataire financier qui va gérer les comptes de
campagne pour les soumettre à la fin au contrôle d’un commissaire au compte.
Pour
ce faire il est obligatoire d’ouvrir un compte dans une banque. C’est un compte
tranquille puisqu’il ne peut enregistrer aucun débit.
Nos
deux mandataires financiers ont donc ouvert les comptes au CIC.
Jusqu’à
présent, tout est normal.
Seulement
voilà, le CIC a décidé de fermer arbitrairement ces comptes, sans même
respecter le délai légal de 1 mois.
D'après le directeur de l'agence de la Guillotière, l'ordre de fermeture du compte est venu directement du directeur régional, trois jours après.
Quand le candidat aux législative lui a rappelé qu'un délai d'un mois doit être respecté, il a répondu exactement ceci: "Vous voulez un délai d'un mois ? d'accord, je peux vous le donner mais en interdisant le fonctionnement de ce compte."
Il faut savoir que les décisions d'ouverture ou de fermeture sont normalement décidées par l'agence et jamais par la direction régionale.
Il s'agit donc bien d'une décision politique.
D'après le directeur de l'agence de la Guillotière, l'ordre de fermeture du compte est venu directement du directeur régional, trois jours après.
Quand le candidat aux législative lui a rappelé qu'un délai d'un mois doit être respecté, il a répondu exactement ceci: "Vous voulez un délai d'un mois ? d'accord, je peux vous le donner mais en interdisant le fonctionnement de ce compte."
Il faut savoir que les décisions d'ouverture ou de fermeture sont normalement décidées par l'agence et jamais par la direction régionale.
Il s'agit donc bien d'une décision politique.
Pourquoi
une mesure aussi arbitraire et illégale dont la conséquence sera d’empêcher
deux citoyens à se présenter à l’Assemblée Nationale ?
La
raison est très simple.
Ces
deux candidats se présentent sous l’étiquette du parti Solidarité & Progrès, le mouvement animé par Jacques Cheminade.
Il
s’agit du seul parti qui veut ouvertement imposer le respect des lois
républicaines aux banques. Lois qu’elles bafouent chaque jour en toute
impunité.
De
plus, ces deux candidats se présentent sous une étiquette plutôt à gauche, ce
qui prendra des voix aux tenants de la vérité sociale officielle.
Peut-on
se demander pourquoi le CIC va s’immiscer dans la campagne ? Posez-vous la
question de savoir qui possède 11% de son capital et vous avez la réponse.
De plus, le CIC est la filiale du Crédit Mutuel, cette banque qui possède les 10 journaux de l'Est de la France et dont les journalistes ont un accès direct sur les comptes des clients. (source Canard Enchaîné).
De plus, le CIC est la filiale du Crédit Mutuel, cette banque qui possède les 10 journaux de l'Est de la France et dont les journalistes ont un accès direct sur les comptes des clients. (source Canard Enchaîné).
Comme les autres banques, le CIC s'est situé en dehors de la République,
au-delà de la citoyenneté et au-dessus des lois. Ils s'en prend maintenant directement à la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme en entravant le bon fonctionnement de la Démocratie.
VOICI VENU LE TEMPS DU FASCISME FINANCIER !
L’article 21 de la Déclaration universelle des droits de l’homme stipule que
VOICI VENU LE TEMPS DU FASCISME FINANCIER !
L’article 21 de la Déclaration universelle des droits de l’homme stipule que
1. Toute personne a le droit de prendre part à la direction des affaires publiques de son pays, soit directement, soit par l'intermédiaire de représentants librement choisis.
2. Toute personne a droit à accéder, dans des conditions d'égalité, aux fonctions publiques de son pays.
3. La volonté du peuple est le fondement de l'autorité des pouvoirs publics ; cette volonté doit s'exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal et au vote secret ou suivant une procédure équivalente assurant la liberté du vote.
2. Toute personne a droit à accéder, dans des conditions d'égalité, aux fonctions publiques de son pays.
3. La volonté du peuple est le fondement de l'autorité des pouvoirs publics ; cette volonté doit s'exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal et au vote secret ou suivant une procédure équivalente assurant la liberté du vote.
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