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mercredi 9 avril 2014

Discours de politique générale de l’APLOMB


Discours de politique générale de l’APLOMB
par Gérard Faure-Kapper

Le combat que nous menons relancera mécaniquement l’économie de notre nation.

Une relance, non pas obtenue par des réformes ni par aucune négociation, mais simplement par l’application des lois et des textes. Cette égalité de traitement devant les tribunaux, valeur essentielle sur laquelle est bâtie notre République, a été mise à mal ces dernières décennies.

Nous avons démontré mille fois qu’une corporation, les banques, échappent à ce traitement. Elles fondent leur fortune sur des privilèges qu’elles se sont arrogés sous l’œil bienveillant des pouvoirs publics, premiers bénéficiaires.

L’usure est un délit dont usent et abusent quotidiennement les banquiers, narguant ainsi l’institution judiciaire impuissante.

Dans une société où rien n’est pardonné au simple citoyen, cette renaissance de pratiques héritées de l’ancien régime, ruine et exaspère un peuple au bout de la misère.


Imposez la loi aux banques, et le pouvoir d’achat des français augmente d’une moyenne de 20%.

Imposez la loi aux banques et le remboursement des sommes volées par le passé permettra aux ménages de rembourser leurs dettes.

Imposez la loi aux banques et ces milliards restitués à leurs propriétaires seront réinjectés dans l’économie par la consommation.

Imposez la loi aux banques et les commerçants et artisans bénéficieront d’un ballon d’oxygène de trésorerie.

Imposez la loi aux banques et les frais payés par les professionnels se transformeront en emplois productifs.

Imposez la loi aux banques et se créera le cercle vertueux de la relance économique saine, basée sur l’activité, la production et les échanges.

Imposez la loi aux banques, et celles-ci bénéficieront les premières de cette relance économique.

Et enfin les banques pourront remplir leur rôle et gagneront ainsi beaucoup d’argent, mais honnêtement.


Je ne peux m’empêcher de citer Jean-Paul Marat qui hurlait à la tribune des Cordeliers : « Je réclame 100.000 têtes !!! »


Nous sommes dans une autre époque et ce discours est bien entendu très exagéré. Il n’est pas question en 2014 de réclamer 100.000 têtes… une vingtaine suffira.




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