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dimanche 3 février 2013

"Président d'assassins, je demande la parole !"



Par Gérard Faure-Kapper

"PRÉSIDENT D'ASSASSINS, JE DEMANDE LA PAROLE !"

Ainsi hurlait l'incorruptible au milieu d'une Convention déchaînée.

"PRÉSIDENT D'ASSASSINS, JE DEMANDE LA PAROLE !"

Moi aussi Président, je demande la parole. Tout va bien en France, n'est-ce pas ? Avec la remise en cause de l'image des parents vous avez déclenché une scission définitive dans la société française. Homophopie, cathophobie, xénophobie, islamophobie, anuptaphobie, anthropophobie, ecclésiophobie, coulrophobie, halitophobie, apopathodiaphulatophobie, etc...

"PRÉSIDENT D'ASSASSINS, JE DEMANDE LA PAROLE !"

"Moi, Président de la République, je vais déclencher une guerre au Mali !" Je ne me souviens pas de cette promesse électorale. Par contre tout le monde a en tête "L'ennemi numéro 1, c'est le monde de la finance." Et puis, plus rien. Il va falloir remettre de l'ordre dans vos fiches. "Chose promise, chom'du" allez-vous répliquer. Certes, nous n'étions pas forcés de croire en vos promesses.

"PRÉSIDENT D'ASSASSINS, JE DEMANDE LA PAROLE !"

L'APLOMB a démontré de manière irréfutable que les banques prélèvent illégalement des fortunes sur les comptes des Français. 24 milliards par an, 24 milliards qui ne seront pas reversés dans l'Economie mais qui financeront des industries polluantes employant de nombreux esclaves à l'autre bout de la planète.

"PRÉSIDENT D'ASSASSINS, JE DEMANDE LA PAROLE !"

L'APLOMB n'a jamais hésité à monter en première ligne. Vous le savez par vos RG qui s'informent régulièrement auprès de nos administrateurs. L'APLOMB n'est pas une association visible, nous ne manifestons jamais, mais l'APLOMB lutte pour empêcher les gens de se suicider pour des raisons financières. Nous sommes impitoyables car nous voulons sauver des vies, et nous réussissons.

"PRÉSIDENT D'ASSASSINS, JE DEMANDE LA PAROLE !"

A Lons le Saunier, un administrateur de l'APLOMB tient le siège d'une agence de la Société Générale. La banque a laissé pourrir la situation d'abord, mais Bruno Boulefkhad tiens bon. Il est devant l'agence depuis 8 mois et demi. Il sait que seul son sacrifice peut réveiller l'opinion et l'inciter à faire de même. C'est une réussite car nous traitons de nombreux dossiers de clients qui finiront devant les tribunaux. Et là, la banque n'a aucune chance.

"PRÉSIDENT D'ASSASSINS, JE DEMANDE LA PAROLE !"

Les grands médias boudent cette affaire, il est facile de comprendre que les banques ont mis leur veto. Qu'importe, les médias étrangers eux s'y intéressent. Les médias russes et aussi un grand média mexicain. Vous savez pourquoi ? Simple renvoi d’ascenseur.

"PRÉSIDENT D'ASSASSINS, JE DEMANDE LA PAROLE !"

Bruno Boulefkhad tient bon. Il est l'avant garde d'un mouvement immense de citoyens qui demanderont l'arbitrage de la justice. Et malgré les pressions du ministère, les juges rendront cette justice et condamneront les malfaiteurs à rembourser leurs victimes. Sur 5 ans, on peut estimer à la grosse louche que 80 milliards sont en jeu.

"PRÉSIDENT D'ASSASSINS, JE DEMANDE LA PAROLE !"




  




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