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samedi 17 décembre 2011

Nouveau film pour une cliente de la Banque Populaire de Bayonne : Voyage au bout de l’enfer.


Nouveau film pour une cliente de la Banque Populaire de Bayonne : Voyage au bout de l’enfer.

J’avais déjà parlé de cette affaire. J’ai tout le dossier sous les yeux. Au-delà du bouillon de culture de vices de forme et d’irrégularités, nous percevons en filigrane une volonté de s’accaparer à tout prix, et de préférence très bas, du bien immobilier d’une sociétaire.

Une personne en difficultés, passagères et expliquées, est victime d’une sorte de complot de la part de la Banque Populaire.

Alors que le prêt n’a que 3 ou 4 mois de retard.

Alors que la Banque Populaire n’a jamais relancé cette personne ni même contactée pour un entretien.

Avec la plus extrême brutalité, ils exigent le paiement de la totalité de ses dettes, soit 117.000 euros.

Dans l’absolu, cette personne ayant des revenus et une maison qui en vaut, au bas mot, 4 fois plus, aurait pu, sans aucune difficulté demander un refinancement dans une autre banque. Mais pour cela, il faut compter un délai d’un mois.

Pour éviter qu’elle rembourse par elle-même cette somme, et pour être sûr de récupérer la maison, la Banque Populaire ne lui donne que huit jours avant de déclencher le mortel processus.

L’échéance est le 21 décembre, juste avant Noël, pour détruire un peu plus cette sociétaire.

Et ils lui demandent une indemnité de remboursement anticipé. Celle-ci est normalement de l’ordre de 3%. Non, cette banque mutualiste lui demande 10% soit 8.406,23 euros dans la poche de la Banque Populaire.

Voici ce dont sont capables des administrateurs bénévoles, qui se cachent derrière les grands principes du mutualisme, aide, et solidarité.

Ces ci-devant mutualistes comptaient passer de bonnes fêtes de fin d’année, surtout après cette bonne affaire.

Manque de chance, avant de jouer les Al Capone, il faut avoir une certaine compétence et ne pas faire d’erreurs.

Or, ils exigent le solde débiteur du compte courant, environ 2.700 euros. Ce débit est surtout composé de frais d’intervention. Nous allons donc recalculer le taux effectif global qui en résulte. A vue de nez, il est supérieur à 500%.

Et nous allons déposer une plainte pénale pour délit d’usure contre cette banque.

Avis à tous les administrateurs des banques mutualistes et de leur personnel salarié, vous voulez instaurer un régime de terreur, alors vous en assumerez les conséquences au niveau judiciaire.

www.aplombfrance.fr

1 commentaire:

  1. ". Nous allons donc recalculer le taux effectif global qui en résulte. A vue de nez, il est supérieur à 500%.

    Et nous allons déposer une plainte pénale pour délit d’usure contre cette banque."

    J'applaudis des deux mains !

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